Alix Bellac
Chers lecteurs,
Il faut rendre à César ce qui lui appartient, mais aussi aux artisans, les fleurs de noblesse qui sont les leurs. Un temps modestement catalogué en comparaison de fonctions soi-disant plus valorisantes, l’artisanat regagne du terrain, du lustre, de la reconnaissance.
« A l’oeuvre, on connaît l’artisan. » Le bon sens de Jean de la Fontaine était, un temps, tombé en désuétude. C’est un poncif de l’écrire mais faisons-le tout de même : les machines ne remplaceront jamais les mains expertes. Celles-là même à qui on enseigne patiemment et qui apprennent, qui finissent par maîtriser et répéter des gestes nobles, précis, parfois ancestraux.
Et si, le temps d’un café ou d’une pause très certainement bien méritée, vous vous plongiez dans l’article de la semaine ?
Celui qui vous éclairera peut-être sur cette catégorie du monde du travail qui n’englobe pas moins d’un cinquième de l’activité professionnelle grand-ducale !
Très bonne semaine à tous.